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Martin Luther King Jr. Un Traitre de la Cause Noire…
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Écrit par Hubert Marlin Elingui Jr Journaliste - Flashmag!
Ce titre serait –il une simple affabulation de l’éditorialiste de Flashmag? Que non, bien qu’il faille concéder que c’est une thèse qui semble ahurissante; tant dans l’imagerie populaire, cet homme est célébré comme un apôtre de la défense de la cause noire. Loin de faire dans le sensationnalisme et les canulars des canards en mal de grand tirage, l’équivoque se doit d’être levée une fois pour toutes. La vérité nous la devons au publique et aux générations futures qui se doivent de savoir. Le spectre de notre faisceau rédactionnel décryptera, pour étayer cette thèse le personnage Martin Luther King Jr. Que vous ne connaissez pas, avant d’aborder, l’Object de sa trahison; en analysant le fondement de sa pensée pour montrer en quoi il aurait trahi le peuple noir du monde entier…
Date de publication: 16-09-2013 16:15:47
La fin de la seconde guerre mondiale sonnera le glas d’un monde unipolaire avec le début de la guerre froide. Dorénavant les hommes de couleurs originaires d’Afrique et d’Amériques qui auront combattu auprès des occidentaux lors de la grande horreur en sortiront grandis, ébranlés par le sentiment d’égalité, à tout le moins devant la mort. Une fois la guerre terminée le retour à la vie quotidienne dominée par la suprématie de la race blanche sur la noire sera désormais très mal vécu. D’Afrique en Amérique les mouvements prônant la justice sociale et la liberté prendront racines, et gagnerons une envergure encore plus grande avec les années 60, qui verront la majorité des pays africains accéder à l’indépendance, tandis qu’aux États-Unis des hommes de carrures (certains au sens total du terme, d’autres au sens figuré ) s’illustreront Malcolm Little, alias X panafricaniste et plus radical dans sa vision, de liberté et de justice pour le peuple noir, et Martin Luther King américaniste, assimilationniste et non violent, représentent les deux courants qui s’affronteront. En fin de compte le second courant tenu par Martin Luther King Jr. fera plutôt l’affaire de l’establishment blanc qui le trouvera plus malléable, et à même d’être utilisé comme outils dans leur agenda de domination subtile, s’étend eux même rendu à l’évidence que l’octroi d’une certaine liberté aux noirs était inévitable, la pression du reste du monde aidant, il fallut donc trouver un compromis, une liberté conditionnelle. Le vecteur de ce compromis n’était autre que le pasteur King, qui acceptera par la suite de compromettre, de biaiser la liberté totale, et l’identité culturelle du peuple noir des Amériques, en militant pour un déracinement total de leur essence africaine pour une assimilation totale au concept américain. Il est ainsi le précurseur de la perte l’essence africaine de la population noire américaine car en définitive sans savoir d’où l’on vient on ne saura jamais où l’on va…
Avant de continuer dans ce propos il est important de d’apporter un éclairage sur l’homme Martin Luther King Jr. dès le départ, il y’a erreur, ou fraude sur la personne, car Martin Luther King n’est pas né Martin Luther King Jr. mais plus tôt Michael King Jr. Il prendra le pseudonyme de Martin Luther en référence au pasteur Allemand bien connu, pour donner plus d’envergure à sa personne, doit on forcement s’appeler comme quelqu’un autre, pour être grand? Cela montre dès le départ le caractère assimilationniste, du pasteur King… Secundo le pasteur King issue d’une famille bourgeoise avec un père qui était déjà pasteur, sera plutôt à tout le moins pendant ses premières année à l’université, un sceptique quant à la religion, réfutant toute idée de signe extérieur de religiosité, qu’il trouvait inapproprié. Pendant ces mêmes années d’université, il se fera plus remarquer en compagnie galante de femmes blanches, avec un gout porté sur le billard et la consommation d’alcool, ses problèmes d’alcoolisme et d’obsession sexuelle resurgiront plus tard dans sa vie une fois qu’il aura fini par embrasser le sacerdoce et la cause des droits civiques. Adepte des orgies sexuelles, arrosées d’alcool, et de tabac, l’establishment blanc avec leur bras séculier le FBI d’Edgard Hoover avait fini par trouver là, le moyen de le rendre encore plus malléable. Depuis sa mort plusieurs informations secrètes sur la vie de débauche du leader noir américain, ont filtré, on sait par exemple qu’à la veille de son assassinat survenu le 4 Avril, 1968 à Memphis dans le Tennessee, il partagea son lit avec l’une de ses relations adultérine. Le Dr. Ralph Abernathy, un proche de King, affirme dans son ouvrage autobiographique parut en 1989 « And the Walls Came Tumbling Down » (et les murs s’effondrèrent) que King avait une faiblesse pour la gent féminine… En outre si la chair peut être faible pour tout homme normalement constitué on ne peut pas dire pareil pour ce qui est de la malhonnêteté intellectuelle. Il est désormais établi que lorsque Coretta Scott King fit don des écrits de son époux à l’université de Standford en 1985, pendant que les papiers étaient en train d’être catalogués, il fut découvert que la thèse de Doctorat, à Boston University, qui portait sur « une comparaison de la conception de Dieu, dans la pensée de Paul Tillich et Nelson Wieman », incluait de larges sections d’une dissertation écrite 3 ans plus tôt par un autre étudiant nommé Jack Boozer, qui était issue de la même école. Les enquêtes diligentées par Boston University prouvèrent, que le héro des droits civiques avait plagié plusieurs autres auteurs qui avaient écrit sur le sujet, si bien qu’un retrait à titre posthume, de son doctorat fut envisagé, mais il fut décidé qu’il avait néanmoins apporté une contribution au traitement du sujet concerné. Une note du déshonneur cependant précise que les travaux de King avaient été menés en s’inspirant de plusieurs autres auteurs sans expressément les citer comme sources. Le plagiarisme du Pasteur King ne s’arrête pas là puisque même son discours le plus célèbre « i have a Dream » est un plagiat en partie, car plusieurs des mots utilisés sont ceux d’un noir américain, avocat, juge, diplomate, et membre du clergé du sud de Chicago, nommé Archibald J. Carey qui prononça les mêmes mots lors d’une convention du parti républicain en 1952. Au vue de ce qui précède qu’en reste-t-il vraiment de Martin Luther King Jr. surtout que toutes ces carences et manquement étaient très bien connus des adversaires du mouvement des droits civiques? Un homme sans doute qui était devenu une véritable marionnette faisant la volonté de ses maitres blancs. Si le fondement de sa pensée n’est pas clairement défini par ce qu’en fait il n’en avait pas vraiment, néanmoins il est très simple de voir qu’il avait embrassé le néo esclavagisme, tels que dicté par ses manipulateurs. Aussi dans l’œuvre et le discours du Pasteur King on est frappé par son amnésie de l’Afrique et de ses préoccupations. Il n’a jamais fait allusion au continent noir ni au panafricanisme ni encore moins au combat d’indépendance, des anciennes colonies occidentales d’Afrique qui pourtant faisait rage à la même époque, curieux pour un homme qui se présentait comme le champion de la cause noire. A ce niveau sa qualité d’assimilationniste ne souffre d’aucun doute, il est ainsi le plus grand agent de l’assimilation servile de la communauté noire américaine au modèle de l’establishment blanc. Comme Jacobus Capitein (1717 -1747) le fut en son temps ancien esclave devenu érudit théologien en Hollande, il soutint une thèse selon laquelle l’esclavage n’était pas contraire à la liberté chrétienne, ceci fit de lui une célébrité dans les cercles occidentaux surtout qu’il avait décidé de retourner en Afrique prêcher ces idées… La démission du pasteur King de la noble cause prônant la défense de l’intégrité culturelle et originelle du peuple noir sacrifié au profit de l’égoïsme et de la corruption du gain matériel, remonte très haut dans son enfance. Chargé par ses parents de veiller sur sa grand-mère qui était souffrante le jeune King, préféra sortir pour aller se pavaner et regarder un match de baseball, pendant ce temps la vieille dame aura un malaise et mourra, il était plus important pour lui de vivre sa vie que d’apporter son support à ceux en détresse… 50 ans plus tard alors que l’on commémore son fameux discours du 28 Aout 1963, des mots qui dans le contexte où ils ont été utilisés sont une ode à l’utopie et à la léthargie du peuple noir; car pour rêver il faut être endormi, cet état d’inconscience et d’engourdissement est d’ailleurs bien mise en oeuvre par le gouvernement américain qui entretient le paresse de ce peuple en lui calfeutrant dans de véritable camps de concentration qui sont ces building subventionner des quartiers malfamés où croupie la négraille dont la seule attente est la pitance mensuelle qui finit le plus souvent quelques jours après dans les stupéfiants, qui les aident à mieux rester sous anesthésie. Le rêve doit être entretenu à tout prix, à ce qu’il paraitrait. Au vue de ceci il est plus évident de comprendre quel dégâts a causé ce rêve, qui a fini par se révéler être un cauchemar, pour la communauté noire américaine, le modus étant l’émancipation assimilée par le blanchiment aussi bien, comportemental, physique que mémoriel, épicé par un égoïsme éhonté et une poursuite effrénée au gain matériel qui frise l’absurde, d’une communauté qui est désormais exsangue et sans repère, par ce que son passé et son essence, lui ont été volé et compromis par ceux la même qui ont jeté les bases de la catastrophe sociale qu'elle vit aujourd'hui. Il est impossible de se défendre contre un oppresseur lorsqu’on est endormie et pire lorsque l’on ne se connaît pas sois même. Les noirs et les blancs marchent sans doutes ensembles dans les mêmes rues, mais il ne faut pas oublier que chacun reste cloitré dans son coin avec un système judiciaire qui reste très allergique à l’épiderme. D’où vient-il qu’un pays qui jusqu’en 2013 n’a pas de véritable équité quand il en vient à ce qui est de l’égalité des citoyens devant la loi, célèbre autant un contemporain, qu’il faut le noter reste la seule personne physique qui bénéficie d’une journée officielle de commémoration fériée aux États-Unis? Sans doute à cette pensée de Samora Machel qui un Jour confia à ses fidèles lieutenants : « si un jour vous entendez l’oppresseur dire du bien de moi et me célébrer sachez que je vous ai trahi et notre cause de liberté et d’intégrité avec »… aussi on ne pourrait au demeurant conclure sans se poser la question de savoir pourquoi Malcom X assassiné en février 1965, et Emmet Till, martyrisé 10 ans plus tôt ne bénéficient pas des mêmes faveurs? La grande importance accordée à Martin Luther King Jr. occulte l’apport des tous ces braves gens anonymes, qui tous les jours disaient non à l’oppresseur, tout comme la mort de Kennedy et les pressions de la communauté internationale avec les États-Unis qui étaient devenue la risée d’un monde qui lui avait pris aux mots avec son fameux slogan de justice et de liberté pour tous. En fin de compte logiquement les adeptes de l’héritage de Martin Luther King Jr. devraient une fois pour toute récuser le terme africain-américain qui leur a été octroyé, et consommer le déracinement et l’acculturation complète, en s’appelant noir américain voire tout simplement américain, pour autant que l’Amérique blanche veuille qu’il en soit ainsi, ce qui est loin d’être une certitude. La publicité faite sur la lignée blanche irlandaise de Martin Luther King tout en oubliant ses racines Africaines, comme ce fut le cas pour Madame Obama, il y’a quelques temps prouve encore d’une autre manière l’orientation qu’a prise la communauté noire américaine dans un syllogisme qui dis de manière sournoise aux blancs : « puis que j’ai du sang blanc alors je suis blanc comme toi, égalité oblige ». Cependant les membres de la communauté blanche qui les encourage, dans cette lubie devraient aussi désormais admettre qu’eux aussi sont noirs ayant du sang noir qui coule dans leur veine peu importe leur apparence, métissage séculaire oblige. Par ailleurs le réel danger, reste la super médiatisation des États-Unis, qui pourrait entrainer une contagion du comportement servile assimilationniste et acculturé des noirs américains, au restant de la diaspora noire mondiale. Dans ce cas Martin Luther King Jr. aura contribué à porter un coup fatal à l’affirmation de l’identité culturelle du peuple noir.
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