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Journée mondiale du crédit pour tous
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Célestin NKOU NKOU Expert en microfinance cnnconsult@yahoo.fr
Le 17 octobre de chaque année, la communauté internationale revisite le chemin parcouru dans la lutte contre la précarité. Souvent, le Cameroun s’y illustre en exécutant la danse ‘yayakàm’ deux pas en avant, dix pas en arrière, car il s’agit d’une bataille de longue haleine, au bilan mitigé.
Date de publication: 08-10-2014 19:59:25
Personnellement, je me joins à ce combat en apportant mes suggestions symboliques pour la vulgarisation de la finance inclusive dans mon pays, étant persuadé que l’argent peut et doit être démystifié. Cette opération est nécessaire pour la mise à coût réduit de cet outil d’échanges, à la portée des catégories vulnérables et exclues que sont : les pauvres, les femmes, les jeunes et les handicapés. En effet, l’exclusion est un facteur d’inaction. Par ricochets, l’inaction a des coûts sociaux et économiques inestimables, lesquels j’essaierai d’évaluer au fil de la présente analyse, en comparant l’eau avec l’air.
Avant de présenter mes modestes propositions, un état des lieux s’impose :
Au contraire de l’eau, l’air pur est une matière non économique parce qu’on le respire directement sans avoir besoin de le traiter d’avance. A cause du recours à l’argent, dans les boutiques et aux abords des trottoirs, l’eau est vendue en citernes, en bouteilles, en sachets ou au gobelet dans certains pays comme le nôtre. A la laverie, l’eau est commercialisée sous forme de pression. Chez le blanchisseur et au pressing, le prix de l’eau est inclus dans le montant des factures de linge. Pourtant, l’air est gratuit en tous ces lieux précités, y compris auprès des stations-services et des colleurs de roues. Admettons sans exagération que de nos jours, à cause des pressions économiques et de la pyramide des besoins humains, l’argent est aussi devenu un peu indispensable dans notre quotidien, comme l’air pour les poumons, l’eau et le sang pour le corps de l’homme. Par analogie avec ces trois éléments indispensables, en principe, personne ne doit en manquer. Sinon, l’individu dépourvu d’argent, encourt des risques d’asphyxie, de déshydratation ou d’anémie monétaire. Dorénavant, la monnaie (ou l’argent) doit circuler comme le sang et l’air. Le cas échéant nous pourrions, non seulement contribuer à : réduire les inégalités entre les riches et les pauvres, améliorer les conditions de vie des pauvres, augmenter le taux de bancarisation, mais aussi, nous pourrions contribuer à sauver des millions de vies pour le bien de l’humanité. Et si l’accès au crédit signifie concrètement : accès au capital ou à l’argent, il faut donc en intensifier la circulation des flux, en élargir le champ et la portée. Pour y arriver, l’ONU, la Banque Mondiale, le FMI, les ONG, les multinationales, les banques et autres bailleurs de fonds…doivent se concerter pour que le ‘crédit’ figure désormais dans la charte internationale, parmi les droits de l’homme élémentaires certes, mais ceux essentiels et inaliénables. Les partenaires au développement tels que l’Agence Française de Développement et la KFW sont des membres actifs du Groupe consultatif d’assistance aux pauvres (CGAP). C’est un consortium de 29 agences de développement privées et publiques, parrainé par la Banque mondiale, qui travaillent ensemble pour étendre l’accès des pauvres aux services financiers dans les pays en développement. Pour le Ghanéen Kofi Annan, à l’époque Secrétaire général de l’Onu, le microfinancement « s’est révélé une arme efficace contre la misère et la faim, et permet d’améliorer réellement le sort des gens, surtout de ceux qui en ont le plus besoin». «Soyons clairs, avait-il déclaré au moment du lancement de l’Année internationale, le microfinancement n’est pas une forme de charité. C’est une façon de permettre aux ménages à revenu faible de disposer des mêmes droits et des mêmes services que tous les autres. (…) C’est une façon de reconnaître que les pauvres ne sont pas le problème, mais la solution. » Il avait aussi estimé, comme d’ailleurs l’ensemble des partisans du microcrédit, que « c’est précisément le type de progrès qu’il faut faire » pour atteindre les Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD), dont la réduction de la pauvreté de moitié d’ici 2015 est la cible-phare. A deux mois de 2015, les résultats restent très décevants. Les fleurs n’ont pas donnés les fruits escomptés, et la pauvreté a au contraire redoublé ses ravages. Entre-temps, il existe déjà plusieurs types de journées internationales. En proclamant 2005 « Année internationale du microcrédit », l’Assemblée générale des Nations unies a voulu donner une impulsion forte à la microfinance, devenue un instrument essentiel de la lutte contre la pauvreté. Au demeurant, ce dernier slogan n’a pas suffit pour déclencher la grande artillerie contre la faim, le chômage et la pauvreté. Le message est tombé dans les oreilles sourdes des hommes les plus riches du monde. Pourtant, depuis plus de deux décennies, les cinq continents célèbrent la Journée mondiale du refus de la misère ou, soi-disant, l’élimination d’une pauvreté dont l’amplification des dégâts ne cesse de progresser. La pauvreté s’avère ainsi comme étant cette forme d’esclavage sauvage et violent, dont on ne vante pas l’éradication sans l’avoir au préalable terrassée. (A moins qu’on ne veuille vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué, et placer la charrue devant les bœufs). Pour proclamer l’abolition éventuelle de la pauvreté, il y a trois principales étapes à franchir, notamment :
Citation : « En 2013, les sociétés de téléphonie mobile au Cameroun ont cumulé un CA de 500 milliards FCFA Orange et MTN, le duopole qui contrôlait le marché de la téléphonie mobile au Cameroun en 2013, a réalisé un chiffre d’affaires cumulé évalué à 500 milliards de francs CFA, révèlent les statistiques du ministère camerounais des Postes et Télécommunications. Selon la même source, le secteur de la téléphonie mobile dans le pays c’est aussi 6000 emplois directs et 300 000 emplois indirects, ainsi que 617 milliards de francs CFA d’impôts et taxes payés au Trésor public camerounais au cours des 5 dernières années. Des statistiques qui devraient connaître un véritable bond dès l’année 2015, avec l’arrivée sur le marché, depuis le 18 septembre dernier, d’un 3ème opérateur de téléphonie mobile, Viettel Cameroun qui opère sous la marque Nexttel, ainsi que la délivrance, le 26 septembre 2014, de la 4ème licence de mobile du pays à l’opérateur public des télécoms, Camtel. » Fin de citation. Ces chiffres ci-dessus annoncés pourraient quintupler en moins de dix ans, au cas où ces 500 milliards de FCFA de chiffre d’affaires, mis en circulation seraient recyclés sous forme de microcrédits dans le cadre de la « finance inclusive ». Les fournisseurs MTN et Orange n’accordent-ils pas déjà des mini-microcrédits de 250 FCFA à très court terme ? Les consommateurs, surtout pauvres, ne remboursent-ils pas ? Cela signifie simplement que : ce n’est pas l’argent qui manque au Cameroun, c’est la volonté. De toute façon « Les pauvres en bonne santé ne veulent pas de la charité et ils n’en ont pas besoin . » Les aumônes en piécettes de monnaie ne font qu’ajouter à la détresse des indigents. Elles les privent de leur esprit d’initiative et de leur dignité. Le crédit qu’on octroierait aux pauvres deviendrait alors un levier galvanisant les efforts de ces derniers. Par extension, ce serait une clé qui leur donne la possibilité d’ouvrir les portes fermées de la richesse, et d’explorer enfin l’intégralité de leur potentiel souvent peu ou pas du tout exploité. Faute par nous de le ‘faire crédit’, nos populations seront toujours dans le besoin. Et nous tous avec elles. Notre Besoin est la différence entre : la Situation de Finance Inclusive Désirée et la Situation de Finance Classique Actuelle, c’est-à-dire : SFID – SFCA = B. La concrétisation de la stratégie de finance inclusive, en projet au Cameroun depuis bientôt deux ans, l’amélioration du taux de bancarisation et la sortie progressive du tunnel de la pauvreté, sont à ce prix.
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Célestin NKOU NKOU Expert en microfinance cnnconsult@yahoo.fr
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