D'autant que les informations en provenance de ladite Fondation depuis quelques temps sont de nature à détruire toute logique formelle et toute morale éthique qui auraient pu conduire à ce que Jean Stéphane Biatcha soit tout à la fois, Secrétaire exécutif des Synergies africaines et en même temps Président du comité de gestion du Centre international de référence Chantal Biya, en plus adjoint de madame Bidoung Mpatt à la Fondation Chantal Biya.
Tout prouve à ce jour que l'homme, s'il ne s'était pas affabulé d'autant de titres portait en lui les germes de puissantes prévarications. Mais comme dit l'adage, chassez le naturel, il revient au galop. Tout semble donner raison à ceux qui clignaient de l'œil quand on le voyait se déployer dans tous les sens pour gagner la confiance de l'entourage de Chantal Biya. Laquelle est actuellement dans tous ses états. Des sources dignes d'intérêts affirment qu'il y a bien peu, à Paris la dame du chef de l'Etat tellement outrée des comportements de ce dernier avait carrément refusé de le recevoir. Le ton était donné. Puisque, la suite des événements allait démontrer à Jean Stéphane Biatcha que ses jours à la Fondation sont comptés. Un bref regard sur sa gestion des fonds tout à la fois dans Synergies africaines et au Centre International de référence Chantal Biya prouve que: Lors de la récente campagne présidentielle, le Secrétaire exécutif des Synergies africaines avait extirpé des caisses une rondelette somme de 25 millions de FCFA sous le fallacieux prétexte qu'il allait battre campagne pour le candidat du Rdpc. Puis 15 millions au titre de ses différentes gratifications pour le compte de l'année 2011. Entre temps, l'on dénotait un déficit de près de 200 millions dans l'enrôlement de ses fonctions au Centre International de référence Chantal Biya au titre de l'exercice de l'année 2011. Ce n'est pas tout. Le 31 mai 2012, tout se gâte lorsque le chef de l'Etat décide d'ériger ce Centre en une Institution publique, Lean Stéphane Biatcha qui est en séminaire à Douala pour le compte de Camair-Co sent les choses bouger et le danger planer dans les airs. Dès son retour, il prend une série de décisions pour justifier le déficit relevé dans sa gestion. Comme action de la très haute importance, il refait appel à l'un de ses attachés, en la personne de son ancien chef de la section financière et comptable, à qui incombera la lourde tâche d'empiler des papiers en-tête de certaines entreprises fictives instiguées par le secrétaire exécutif Jean Stéphane Biatcha. Bakouba Noé Kaldjob tel est le nom de son coéquipier de circonstance s’acquitte honorablement de cette tâche frauduleuse. Mais coup de tonnerre, au moment du partage des dividendes, les choses ne se passent plus comme convenues. Kaldjob se met alors à crier à qui veut l'entendre qu'il n'a bénéficié d'aucune gratification au terme de ladite opération. La puce rentre dans plusieurs oreilles. Mais certaines sources affirment que Kaldjob ne dit pas exactement les choses comme elles se sont passées. Et le moins qu'on puisse dire c'est que Jean Stéphane Biatcha n'est pas loin de subir les foudres que la vie réserve à ceux qui un jour trahissent des confiances accordées. Ce que les juristes appellent abus de confiance. Suivez mon regard.
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© L'Anecdote : Guy RAYMOND ELOKAN
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