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Paulin Mballa, étoile montante du journalisme au Cameroun
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Source:
- Journalducameroun.com
- Camer.be
Il est le présentateur de Zap presse, l’une des émissions les plus écoutées de la capitale
     Date de publication: 21-09-2010   06:09:29
Paulin Mballa fait partie des jeunes journalistes arrivés dans le secteur de la communication par amour et par passion. Sa carrière, il la débute presque de manière informelle, notamment par le canal des émissions des vacances dans deux radios privées de la capitale. Né le 04 mars 1980 à Mbalmayo dans la région du centre Cameroun, Paulin mballa fait l’école maternelle à Mbalmayo et à Yaoundé. Ses études primaires, il les fait tour à tour à l’école publique de mvolyé, de Ngomedzap, et de kondengui, où il obtient le certificat d’études primaires et élémentaires(CEPE) en 1990. C’est au lycée d’ékounou à Yaoundé que Paulin Mballa entame le cycle secondaire, avant de le poursuivre au Collège d’enseignement secondaire (CES) de Bikok, puis au lycée de Mfou et enfin au lycée d’ékounou où il finit par obtenir le baccalauréat en 1999. Il s’inscrit alors en lettres modernes françaises(LMF) de l’université de Yaoundé 1.

En 2001, guidé par une passion radiophonique, Paulin Mballa, atterrit à Radio Tiémeni siantou(RTS) où se déroulent les émissions de vacances les lundi, mercredi et samedi. Il fait parallèlement le même stage à Radio Lumière parce que dans cette station, l’émission des vacanciers passait de lundi à samedi nous confie t-il. La même année, Paulin Mballa présente le concours d’entrée à l’école supérieure des sciences et techniques de l’information et de la communication (ESSTIC). Malheureusement, les portes de cette école de journalisme lui resteront fermées. Il est retenu pour faire partie, de l’équipe de production de l’émission Futuroscope, qui lui servira de tremplin pour la rédaction centrale de cette Radio. Le chef de chaîne, J.Rémy Ngono le confie alors au rédacteur en chef de l’époque Jean Claude Mvodo (actuellement à New York, aux Etats Unis), c’était le jeudi 22 août 2002 se souvient le fils d’Enyegue Gilbert et de feue Mengba Marie Célestine.

[Ecrit par Ericien Pascal NGUIAMBA - Journalducameroun.com]
1. Paulin Mballa - La préparation de ZAPPRESSE débute une fois la dernière édition achevée
 
Il fait partie des jeunes journalistes arrivés dans le secteur de la communication par amour et par passion. Sa carrière, il la débute presque de manière informelle, notamment par le canal des émissions des vacances dans deux radios privées de la capitale politique camerounaise. C’est à l’émission dominicale ZAP PRESSE diffusée de 10 heures à 12 heures sur la Radio Télévision Siantou (RTS) que Paulin Mballa doit sa popularité et son aura. Pour votre rubrique « expression », consacrée cette semaine à la rentrée scolaire 2010/2011, nous sommes allés à la rencontre de ce journaliste. Il a accepté de répondre à nos questions.

Monsieur Paulin Mballa, Bonjour! Merci de nous accorder cette interview. Sur cameroonvoice ou sur Cameroon-info.net radio, vous êtes connus à travers votre émission « Zappresse ». Pour tous les auditeurs et toutes les auditrices qui vous écoutent tous les dimanches sur les ondes la radio RTS, qui est Paulin Mballa?

Je suis Paulin Mballa. Né le 04 mars 1980 à Mbalmayo. Je suis célibataire et père d’un enfant de 6 ans (une fille: Océane Ashley Mballa). Titulaire d’une Licence en Lettres Modernes Françaises et étudiant en cycle Licence à l’Ecole supérieure des sciences de l’information et de la communication (Esstic). Journaliste depuis Août 2002.

Qu’est ce qui vous a motivé à choisir le métier de journaliste?

C’est le métier que j’ai toujours voulu exercer. Je ne suis pas sûr de pouvoir donner une raison précise. Mais, cela a toujours été un objectif. Je serai peut-être devenu un officier de l’armée. Je me souviens qu’en 2001 alors que j’étais étudiant en 2e année à l’université, il ya un frère ainé qui m’emmène rencontrer un colonel au quartier général dans l’optique de m’aider pour le concours de l’Emia. Le colonel en question aujourd’hui à la retraite après s’être rassuré que je répondais aux critères d’âge, des notes requises, etc. me confie que « nous allons le faire mon fils ». Sans doute un peu zélé (je n’avais que 21 ans). J’ai le toupet de lui répondre qu’en réalité le concours que je souhaite présenter c’est celui de l’Esstic. Furieux, il m’a chassé de son bureau non sans m’avoir dit que je ne serai jamais riche. La même année je rate pour la première fois le concours de l’Esstic.

À quel moment de votre jeunesse la décision finale a été prise?

Depuis tout petit. Mais c’est en classe de 4e que je commence véritablement à m’y essayer. Au Lycée, j’avais une élocution assez facile qui se faisait remarquer à la fois par les enseignants et mes camarades. Ce qui fait que je présentais déjà les kermesses, les reportages des matches de championnats inter-classes avec un certain Nga Ondoua Alain qui doit être aujourd’hui en Suisse. Et cette année je suis élu président du club journal devant des aînés. Depuis ce moment, j’allais à l’école avec un seul objectif: devenir journaliste

Quel(le)s sont les grand(e)s journalistes africain(e)s que vous aviez toujours admiré pendant votre jeunesse?

Pas nécessairement seulement les africains. J’admire et j’ai du respect pour tous ceux qui font bien leur travail, mais il y a des styles qui m’ont le plus marqué : celui de Laurent Sadou, journaliste à RFI qui conclut toujours « Afrique Midi », l'édition d'informations de la mi-journée qu'il anime, par cette phrase fétiche « …prenez soin de vous, chaque jour est une vie… ». Et celui de PPDA (Patrick Poivre d’Arvor), l’ancien présentateur du JT à Tf1. J’aime bien aussi Richard Quest, un journaliste américain qui officie sur CNN avec son programme « Quest means buisness ». Évidemment je fais partie des jeunes journalistes qui ont été séduits par Charles Ndongo.

Parlons-en de la RTS (Radio Tiemeni Siantou), comment êtes-vous arrivés à cette maison de la radio?

Je suis arrivé à la Rts en juin 2001 comme vacancier alors que j’étais étudiant en 2é année Lettres modernes françaises à l’université de Yaoundé 1. J’ai été retenu au terme de ce stage de vacances parmi les jeunes devant faire partie de l’équipe d’un programme jeune appelé « Futuroscope » qui était fixé dans la grille des programmes de la maison. En août 2002, c’était un jeudi 22, J.Rémy Ngono demande à Jean Claude Mvodo, le Rédacteur en chef d’alors de me permettre de suivre un stage à la rédaction centrale. Au premier jour, je suis envoyé sur le terrain pas pour observer mais produire un papier par téléphone. Ce que j’ai certainement fait avec succès, puisque le samedi qui suivait, on me demande de réaliser un reportage pour « Rts midi magazine» qui en ce moment-là n’acceptait pas toutes les plumes. Puis le lundi, soit 5 jours après mon intégration à la rédaction centrale, je suis programmé à la présentation du journal de 6h « Fréquence internationale » qui était consacré à l’actualité internationale. Aujourd’hui avec un peu de recul, je me dis c’est un peu fou tout ça. J’ai eu beaucoup de chance. Je n’avais en tout comme expérience que les 2 mois et demi passés dans l’équipe des jeunes. Je n’avais pas encore été dans une école de formation. Du coup je me dis Dieu est grand.

Quelles sont les émissions que vous animez?

En ce moment je m’occupe davantage de ZAPPRESSE. Je suis aussi souvent programmé pour les journaux de 12 et 18h (Rts midi et soir). Je supplée parfois Ghislain Pierre Essono à la présentation de Policam le samedi.Mais avant j’ai présenté La tribune de l’auteur, Grand forum, A vous l’antenne qui n’existent malheureusement plus.

Parlons-en de l'émission ZAPPRESSE très écoutée par les auditeurs et auditrices tous les dimanches de 10h à 12h, heure du Cameroun . Comment préparez-vous une telle émission?

La préparation de ZAPPRESSE débute une fois la dernière édition achevée. En tant que club de la presse, nous nous intéressons à l’évolution de l’actualité qui ne s’arrête pas. Nos sujets sont donc répertoriés sur la base de celle-ci. Nous pouvons commencer à en discuter entre membres de l’équipe lundi ou mardi. Nous nous réunissons en conférence de production le jeudi pour déterminer les principaux à retenir ainsi que le profil des invités. Je contacte ces derniers ce qui n’est pas souvent aisé. Il y a pour certains beaucoup de susceptibilité et donc il faut les convaincre. Dans le même temps mes collègues préparent leurs rubriques.

Qui vous accompagnent dans la préparation de cette émission?

ZAPPRESSE est une équipe d’une dizaine de personnes. En dehors de Ghislain Pierre Essono et Ebenizer Dki dont les voix sont déjà connues pour leurs rubriques respectives qu’ils animent : Couleur Edito et la revue de la presse nationale, il y a Serges Aimé Bikoi et Innocent Tatchou qui contribuent énormément dans le choix et l’orientation des sujets, tout comme le chef de chaine. ZAPPRESSE c’est aussi Joe Joseph Mignon Ebonda « le technicien attitré », Aimée Thierry Mvondo Ngono « DJ 5 étoiles », Calvin Blaise Ntonga Diba le réalisateur qui est d’abord journaliste diplômé de l’Esstic, Romaric Landry Alima Ebanda et la voix féminine qui nous a rejoint depuis un certain temps Reine Tiani pour la rubrique Choux gras.

Quelles sont les difficultés rencontrées pendant la préparation de cette émission?

Parfois nous n’avons pas toujours les personnes que nous avons souhaitées, du fait de leur indisponibilité, leurs craintes et d’autres raisons. Il y en a même qui se rebiffent à la dernière minute au moment où vous ne pouvez rien rattraper. Les difficultés liées également aux moyens logistiques suffisamment réduits. Mais bon on fait tout pour satisfaire nos auditeurs. Je dirai par exemple qu’en dehors des frais de téléphone mis à la disposition par notre employeur dont nous discutons même pour la revalorisation, les frais d’internet 24h sur 24, le suivi après l’émission de nos invités, la prise en charge des membres de l’équipe sont à nos propos frais.

Vous vous êtes déjà familiarisés avec certain(e)s auditeurs et auditrices, avez-vous un message à leur adresser?

Ils sont nombreux de part le monde à nous écouter chaque dimanche à 10 heures du Cameroun sur Rts, www.cameroon-info.net et www.camerounradio.com et en rediffusion lundi à 22 heures Je voudrais au nom de la grande équipe de ZAPPRESSE remercier toutes ces personnes. Il y en a qui nous écrivent pour nous encourager, faire des suggestions. Il y en a qui insultent aussi, qui nous menacent. Je voudrais simplement demander que tous continuent à nous soutenir, nous en avons besoin. Nous profitons d’ailleurs pour remercier le collectif de la diaspora qui entend soutenir ce que nous faisons par un prix à la fois à l’émission et aux meilleurs panélistes par une cérémonie en décembre prochain à Yaoundé. Prince Marcelin Aziz de Turin et tous les autres autour de lui ont d’ailleurs fait savoir qu’ils souhaitent associer tous les amoureux de ce programme à cette initiative. Ce sera le 3e prix de ZAPPRESSE en 3 ans. Ce qui nous rassure que nous ne perdons notre temps même si en revanche tout le monde n’est pas d’avis que ce programme doit continuer d’exister.

Vous nous aviez dit tout à l’heure que vous êtes en même temps étudiant à L'ESSTIC, comment managez-vous votre formation professionnelle et vos émissions de radio?

Je m’organise, je continue de travailler, puisque je vais au cours en matinée jusqu’à 16h à peu prêt. Ça me donne le temps de pouvoir rattraper la présentation du journal de 18h lorsque je suis programmé. Maintenant je fais moins le terrain que j’affectionne particulièrement.

Quelles sont les difficultés que rencontrent les étudiant(e)s - Journalistes?

D’abord les mêmes que les autres étudiants. C’est-à dire les infrastructures d’accueil, les outils de recherches, je fais allusion davantage ici à ce qu’offrent les bibliothèques, même s’il y a internet. En plus il y a ce que j’appellerai les caprices de certains enseignants vis-à-vis des étudiants déjà professionnels. Vous vous entendrez dire par exemple que «je vais vous réduire en starlette comme vous vous croyez star». Et du coup ça se ressent sur vos notes. On a beau tout faire pour être un étudiant normal, on ne l’est pas. Ses camarades, ses enseignants pas évident de s’en sortir. D’aucuns m’ont même dit de faire attention de ne pas pouvoir sortir de cette école avec une telle tribune critique que j’anime, me proposant de la laisser tomber. On se dit du moment où ça ne vient pas de la voie des principaux responsables de l’école, on croit que c’est des idées de certains et pas forcément de l’institution.

Cette rentrée de nombreux bacheliers découvriront pour la première fois, les salles de l'ESSTIC, quels conseils pouvez-vous les prodiguer?

Qu’ils sont chanceux d’intégrer cette école qui est très prisée en Afrique. L’Esstic accueille quand même chaque année des étudiants venant de la sous-région et au-delà. Maintenant il ne suffit pas d’y être entré pour être un bon journaliste. Il faut concilier les connaissances théoriques à la passion personnelle de ce qu’on veut devenir et laisser dans le métier comme image.

Et aux élèves de nos Lycées et collèges qui aimeraient plus tard faire une carrière journalistique?

Un peu ce que je viens de dire plus haut, concernant la passion pour le métier. Il est important de se former pour maitriser les règles et les canons. Il y a l’Esstic qui donne cette formation par voie de concours. I l y a aussi les instituts privés comme Siantou supérieur et bien d’autres. Mais comme l’a souvent dit le Pr Albert Mbida, et d’ailleurs rappelé aux obsèques de Pius Njawé. Le diplôme seul ne suffit pas. Il faut encore pouvoir le mériter. On peut aussi être un bon journaliste en se formant sur le tas. Une voie qui n’est pas évidente et surtout exposé à l’environnement de la « diplomite », maladie dont souffrait le diplômé de l’ESIJY et actuel Professeur de Journalisme et de Communication (Albert Mbida) heureusement soigné par Pius Njawé (Rires).

Pour terminer cet entretien avez-vous un vœu pour l'Afrique?

Quelle puisse devenir prospère à la dimension de ses ressources et de ses richesses.

Vous contacter?

237 99 54 14 91/237 22 05 89 57
zappresse@pulinmballa.com
paulin232003@yahoo.fr

© Camer.be : Propos recueillis par Lydie Seuleu
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